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Role Play
Provinces de l'Union d'Obert
Gouvernement
Monarchie parlementaire
Devise
A la gloire de monseigneur le vin de La Sauvegarde, qui fait trinquer le monde à la santé d'Obert!
Alliances

Fondation
19 décembre 0021
Description courte

Les Provinces de l'Union d'Obert, en sa forme longue Grand Duché des provinces d'Obert est un état situé au sud d'Artagnia et Arpegène, civilisation avec qui elle entretient des liens culturelles fort, et au Nord d'Eterstone. Crée par le Saint-De La Sauvergarde, à sa mort, la principauté est devenue une république aristocratique qui dura plusieurs siècles. Elle fut finalement réformée en grand duché héréditaire.

Villes
Description

Histoire

Préhistoire, avant la fondation de l'Obert

Avant l'arrivée de Saint-De La Sauvegarde, les montagnes du Gibiecq servaient de terrain de chasse à la tribu des Wilrfurd. Les Wilrfurd sont les premiers habitants des plaines et des côtes autour des monts du Gibiecq. Plus d'un siècle après la sédentarisation des Wilrfurd, un groupe se détacha de la proto-civilisation qui formera ensuite Artagnia et Arpegène. Guidées par Saint-De La Sauvegarde, quelques dizaines de personnes s'installèrent sur les monts Gibiecq au bord du fleuve Scaritoure. Le périple jusqu'à l'actuel Obert fut long. Il semblerait qu'ils se sont installés auparavant sur des îles bien plus à l'Ouest. Les raisons du nomadisme des Proto-Obertiens sont inconnues.

Orbert antique, la Principauté d'Obert

Fondé par Saint-De La Sauvegarde au sommet des monts du Gibiecq. Les premières années de la principauté sont marquées par des raids constants de la tribu voisine des Wilrfurd. Face à cette menace, la petite société que compose l'Orbert s'arme et s'organise autour de la guerre. C'est l'émergence des premières familles nobles. Trois d'entre elles se distinguent par leurs bravoures et leurs combativité. Ce sont les Bonaert, la Dynastie de l'Ognon, et les Pompoen. Ces trois familles forment ensemble l'Ordre de la Chevalerie, première corporation, regroupant les nobles. A ce moment de l'histoire de l'Obert, la nation ne se compose que du château de la Sauvegarde, et ne compte que quelques familles. Tout développement étant proscrit par les constantes escarmouches avec la tribu de Wilrfurd. Le système économique n'était pas très développé, et toutes les ressources étaient partagées. C'est ce qui s'appellera plus tard "L'Esprit de la Sauvegarde". Les premiers nobles n'étaient riches que de leur sang et de leur bravoure sur les champs de combats. Cela n'empêchait cependant pas les inégalités d'exister. Les relations intra-familiales étaient déjà très hiérarchisées, et les quelques familles qui composaient la Sauvegarde, même si elles labouraient les champs et bâtissaient elles-mêmes les bâtiments, avaient à leurs dispositions quelques roturiers qui servaient de servants.

Les grandes guerres tribales, contre Wilrfurd, se termina sur une victoire écrasante de d'Obert. L'integralité du petit village est rasé, et La Sauvegarde domine les plaines autour des montagnes du Gibiecq. Pour récompenser les chevaliers ayant participé à la guerre, le Prince du Saint-De-La-Sauvegarde leur offrit à tous des terrains. Terrains sur lesquelles ils doivent faire pousser des plantes qui apporteront la prospérité à Obert. La nourriture étant déjà produite en masse par la petite paysannerie apparaissante, les chevaliers décidèrent de faire de grands champs de vignes et de faire du vin. C'est la première activité dont le seul but était la richesse de l'histoire d'Obert. C'est ces vignes qui font la richesses de la noblesse, et qui commencent à développer une classe de marchands et d'artisans (pour la confection des bouteilles notament). Classe rivale qui va exploser durant les décennies qui suivent, et vont commencer à former des corporations eux aussi.

La Principauté fonctionne selon un système de proto-mutuelisme, où chaque besoin des habitants du château est assurée par la communautée. Très orientée sur la guerre, à cause de sa rivalité avec des tribus barbares, une élite chevalière est apparue, et domine la vie politique de la Principauté. Mais le réel dirigeant est le Prince De La Sauvegarde, qui se fait conseiller par le "Conseil du Prince", futur "Conseil des corporations".

La République d'Obert

Histoire

A la mort du Saint-de-la-Sauvergarde, la principauté se retrouva dans une crise politique. Personne ne pouvant se revandiquer comme son héritier. Le pouvoir incomba alors naturelement au conseil du Prince. Là, tous les nobles du pays se retrouvaient et décidaient du futur de la cité et ses environs. Mais sans princes pour légitimer le pouvoir de ce conseil, les élites marchandes, qui à ce stade disposaient déjà d'une importante influence, commencèrent à remettre en question la gouvernance. Pour remettre de l'ordre, la nouvelle, et informelle, corporation des marchands fut légalisé et accepté au conseil. Rapidement, pour empecher que ce lieu de pouvoir ne devienne qu'un champs de bataille entre les deux classes, les autres corporations furent integrées, pour assurer des contres pouvoirs et empecher des blocages. Le conseil des Corporations était née. Au fur et à mesure du temps, le sytème politique se solidifia. Ce qui était censé être une république devint de plus en plus une monarchie héréditaire aux pouvoirs limités. Car les nobles ont toujours gardé le pouvoir, et au sein de ses nobles, c'est la famille Boanert qui a une hégémonie compléte. Le pouvoir de la noblesse s'est encore plus développé sous le règne de Guillaume Ier Boanert. Il est resté près de quarantes années au pouvoir et a grandement participé à fermer le système politique aux non-nobles, et à assoir la primauté des nobles. Mais paralelement le dévelopement économique de la Sauvegarde, qui au IXe siècle parvient à égaler ses cooéquipiers de la ligue Barcélique et s'erriger en puissance incoutournable, permet l'accroissement de la bourgeoisie. Alors que le système politique national se vérouille, la Sauvegarde est de plus en plus sous le contrôle des corporations bourgeoises (marchands, lettrés, artisans, etc).

Le IXe siècle est le siècle de l'ère Guillaumienne, du nom du Chancelier Guillaume Ier. Le debut de cette ère est marqué par la défaite de la guerre Équine et le début d'une diplomatie strict, notament envers Arpégène. Sur le plan international, Guillaume Ier gère la guerre de la Ligue contre Childroche. L'ouverture vers ses ennemis du centre est sa marque de fabrique, même si l'ouverture est un echec. Le conflit se termine sur l'écrasement, non sans pertes, de Childroche, et son abandon ensuite. Seul un petit bastion Obertien à son nord va subsiter. Ca va être le début de la politique coloniale et commerciale de la Compagnie Commerciale d'Obert avec Charte Coloniale. Mais l'ère Guillaumienne est surtout marqué par un développement économique incroyable. La Sauvegarde construit enfin sa cathédrale à l'honneur du Saint-de-la-Sauvegarde. Mais surtout la ville se dôte d'un puissant système défensif, ambition principale de Guillaume Ier à la fin de son règne.

Politique

L'institution principale qui gère la république est le conseil des corporations. C'est ce conseil qui va faire des édits et des ordonnances pour le pays et décider d'une politique économique, et de la guerre. Ce conseil est composé par les representants des corporations, nommés par leurs corporations. Les representants s'occupent aussi d'élire le Chancelier d'Obert, le dirigeant de fait de la république. Dans la majorité des cas, le Chancelier provient de l'ordre des chevaliers, corporation la plus puissante. Deux corporations particulières ont accès au conseil. La Corporations de la Haute-Magistrature, et la Franternité des Clercs. Aucuns d'eux n'ont de droits de votes, mais ils ont pour but de verifier que les édits soient en accords avec la Charte d'Obert et des Saintes-Écritures du Marénisme. Strictement parlant, ils n'ont pas de droit de veto, mais leur avis sur les édits suffit généralement à empecher leurs ratifications.

Politique

Institutions

Le pouvoir Obertien est divisé en deux. Le Grand Duc, monarque de droit divin, et le Parlement, ou deux factions s'affrontent pour imposer leurs conceptions de la politique à Obert, les étatistes (défendant un régime constitutionel et parlementaire, voir même républicain) et les duchistes (défendant la primauté du Grand Duc)

Le Parlement

Le parlement est composé d'une centaine de réprésentants. Chaque province envoit un nombre fixe de représentants qui sont censé représenté les corporations présentes localement. Par exemple, Poperinge n'envoit presque que des chevaliers et des nobles siegers, alors que la Sauvegarde envoit un grand nombre de representants de toutes les corporations.

Le Grand Duc

Le troisième pouvoir : l'Église

Subdivisions administratives et décentralisme

Obert est divisé en plusieurs subdivisions aux lois parfois divergentes. Le régime Obertiens se repose sur un très faible centralisme, composé d'au moins cinqs type de territoires, appelé province:

Une Cité Libre: La Sauvegarde est la seule Cité Libre d'Obert. Si un système républicain aristocratique et capitaliste existe, c'est dans ce territoire. Les terres appartiennent au Conseil Bourgeois, conseil incorporé au Conseil des Corporations, mais qui exclu le vote des nobles, sauf celui du Grand Duc d'Obert, même si celui-ci a un droit de veto absolu. La terre y est acheté et vendu dans un marché libre, c'est l'une des grandes différences par rapports aux autres .

Trois Barronies: C'est Poperinge, [...] et [...] Elles fonctionnent selon un système pyramidale féodales, avec à sa tête un barron, chef de famille de l'une des trois grandes familles nobles. Peu peuplé, mais riche en reserves naturels, c'est le bastion des nobles, les marchands y sont absent.

Une paroisse libre: Saint-Eustache est la seule paroisse libre, n'étant sous le contrôle d'aucunes barronies ou cité. Le pouvoir revient aux monastères du Mont Gibiecq. Cet exeption politique est dû à la très faible population.

Au moins un baillie: Houalbeck-sur-Mols est le principal bailli. Il fonctionne concretement comme une barronie mais avec à sa tête un roturier élu ou nommé à vie. Ils sont sous contrôle noble.

Et une tribu fédérés: La tribu de Kisfalu dispose d'un régime particulier puisque qu'elle a rejoins Obert volontairement et à pu gardé, contre une conversion, son organisation traditionelle. Elle n'est pas représenté au conseil des corporation et se tient à l'écart de la politique Obertienne.

Les Corporations et partis politique

La vie politique Obertienne s'est divisé avec la révolution Arpéginoise et la proclamation du Grand Duché d'Obert. Deux partis dominent la vie politique du pays, les étatistes et les duchistes (le "ch" se prononce "qu")

**Duchiste

L'Ordre des Chevaliers: Fondée très tôt par les trois grandes familles nobles, cette corporation, qui n'en porte pas le nom, représente les interêts de l'armée et des grands propriétaires. Elle est particulierement conservatrice et défend une politique exterieur expansionnistes et suprémasiste. C'est la faction la plus influente, et la seule du temps de la Principautée d'Obert.

Confrérie des Clercs: Du temps de la république, ça n'était pas à parler une corporation. Elle ne prenait pas part aux votes, mais elle faisait tout de même parti du conseil pour verifier que les édits n'entraient pas en contradictions avec les saintes-écritures du Marénisme. Mais depuis l'éréction de la Cathédrale et l'influence toujours plus importante de la religion, la conférie est depuis la proclamtion du duché, représenté au parlement. Elle défend une ligne moralisatrice, presque réactionnaire, mais pacifiste sur le plan internationale, sauf dans le cas de croisades.

**Étatistes

Corporations des marchands: C'est la deuxième corporation a être fondée, grâce aux grandes richesses amacées par la vente de vin, surtout à l'international. Elle est dominé par la famille Vroyland, plus grande fortune d'Obert. Elle a un poid considérable au parlement et dans la vie économique du pays. Depuis la révolution Apréginoise et la proclamation du Duché, elle a prit sont indépendance de l'ordre des chevaliers. Elle est particulierment libérale sur le plan économique mais assez modéré sur le politique.

Corporations des artisans: Crée dans la suite de la corporation des marchands, c'est la première des petites corporations. Elle n'a pas un très grand poid, et se range régulierement derrière la corporations des marchands.

Corporations des lettrés: Regroupant les apothicaires et les métiers de la médecine, les copistes, les professeurs, les bureaucrates et toutes les professions dîtes intellectuels. Elle a prit un pouvoir important depuis la création du parlement et des tensions à Obert. Elle est la plus radicale des corporations et défend une position libérale et quasi républicaine.

**Les Travers-Bancs (indépendants)

Corporations de la haute-magistrature: Corporation très étroite, et proche de la précédente corporations, elle fait aussi partie des petites corporations, malgré l'influence de leurs membres. Elle regroupe tous les juges d'Obert. Ils ne votent pas, mais ont pour but de faire respecter la Charte d'Obert au sein du Conseil.

**Les syndicats (non représenté)

Les maçons, mineurs, employés et paysans ne sont pas representés au parlement, alors qu'ils composent 90% de la population Obertienne. Depuis la révolution Obertienne, des syndicats, certains influencé par la corporations des lettrés, d'autres, plus radicales, non, se sont formé. Les principaux syndicats, toujours marginaux, sont: Le Syndicat des marins, de tout le personnel des navires, le syndicat des ouvriers tisserands, le syndicat des mineurs de Coubeh, etc...

Économie

L'économie Obertienne se tourne en grande partie vers l'export de biens manufacturés. Parmis ceux qui ont fait la richesse du pays, le vin est bien entendu en tête. C'est la source de richesse principale de la noblesse. Le secteur minier est en pleine explosion avec l'entreprise Soulière en tête de cette révolution. Proche de la Sauvegarde, il y a un gigantesque gisement de fer, autrefois exploités par les Guildes Minières. Des petites entreprises, souvent familiales, d'artisans, qui exploitent le puit avec une piètre efficacité. Mais depuis quelques années, les pouvoirs publique appuyé par les duquistes comme par les libéraux, font pression pour moderniser ce secteur. Soulière, une de ces ancienne guilde mais qui s'est implanté en Arpégène est aujourd'hui la seule avec le capital requis pour privatiser l'intégralité du puis. Ce boulversement économique permet à Obert de jouir d'une nouvelle ressource d'importance, le fer, mais cela provoque aussi du mécontetement auprès des mineurs et des artisans de la mine, qui se retrouvent simple salariés. Les réseaux de solidarités hérités des guildes se transformes peu à peu en une mirriade de syndicats.

La question de l'économie de la terre, de l'agro-alimentaire, est complexe à Obert. Le terres, en dehors de la Sauvegarde, appartiennent toutes à la noblesse, sauf exeption. Elle se divisent en deux catégories, les terres premières, et les terres secondes. Les terres première sont géré directement par les nobles, et 95% d'entre elles sont reservé à la viticulture, source de richesse pour les nobles. Elles sont exploités par des travailleurs journaliers et des serfs qui y travaillent 4 mois par ans gratuitement. La gestion est souvent octroyé à des managers issue de la bourgeoisie ou de la petite noblesse. Cette classe intermédiaire entre nobles, paysan, bourgeois et commerçant est, la plupart du temps, représenté par la corporations des marchands. Mais ils ont la spécificité de travailler main dans la main avec la haute bourgeoisie, et sont souvent plus conservateurs et moins libéraux que les autres marchands. Les autres terres, les terres secondes, appartiennent légalement aux nobles mais ne sont pas géré par eux, et bénéficie peu de leurs exploitation. Elles sont exploité et géré en commun par les communautés paysannes, qui, en échange, travaillent 4 mois gratuitement pour le seigneur. Ces terres, aussi appelé "communs" produisent uniquement du grain, des légumiseuses et servent de paturages, dont les production sont partagé par la commauté locale. Après que les biens soient consommé, les surplus sont vendus à la Sauvegarde. La communauté paysanne Obertienne est donc l'une des plus organisé et les plus riches de tout Tetrago.

En plus de l'économie féodale, de l'économie commune, il existe aussi une veritable économie capitaliste à la Sauvegarde. Dans la cité, les terres et batiments sont vendu et acheté librements, la salariat y est rependu, et le patronat puissant. Les nobles n'y ont que peu d'influence.

C'est donc ce conflit, et cette coopération, entre ces systèmes économique qui fondent la spécificité d'Obert. Evidement, la situation n'est pas stable, et change régulierement. Par exemple, Voualbeck-sur-Mols n'a presque plus de communs, les terres y étant quasiment toutes privatisées. Témoins des tensions qui existent entre les différents groupes. Les bourgeois, marchands et artisans, luttent pour l'application de mesures libérales, la libre propriété des terres et des biens, et la fin des privilèges nobiliaires. Les nobles, eux, défendent leurs position d'acteur stabilisant de l'économie et se battent pour conserver le système actuelle, le servage. Cela permet de jouir d'une masse de travailleur gratuit et surtout stable, aucune démission n'étant possible. Et enfin le troisième groupe, absent au parlement mais qui exerce une influence importante, mais discrète, les communautés paysannes. C'est un camp plus informel que les autres, et divisié sur leurs ambitions. Certains paysans, conservateur, estiment le servage comme sacrifice nécessaire à l'existance des communs, et défendent les nobles. D'autres, plus proche des libéraux, défendent une réforme agraire, la fin du servage, et la division des champs entre chaques paysans. Et la troisième faction, qui gagne de plus en plus de traction depuis les tentatives économique de Lorenzo Da Vera en Arpégène, qui défendent la fin du servage, mais continuer le système de communs. Ils défendent le système de fait actuellement, mais souhaite lui accorder une protection légale. Cela s'instruit aussi dans une ambition de démocratisation d'Obert. Les deux dernières factions sont considérés comme des poches de resistances sur lesquels il faut s'appuyer, selon les Républicains.

Culture

Langue

La langue principale de l'Obert est l'Obertois. Langue proche des langues d'Artagnia et d'Arpégène. Les langues tribales du Wilrfurd ont aussi une petite influence. Une importante diaspora Childrochienne s'est installé dans les quartiers denses et insalubre de la capitale. Ces communautés sont appelées les Castelards.

Religion

La religion d'état et unique de la République est le Marénisme. Aucun membre des corporation n'a le droit de suivre une autre fois. La pratique d'autre cultes en privé est légal, mais aucun édifice religion ni prosélitysme ne peut être accompli si non-maréniste. Les castelards sont pour la plupart de confession childrochienne traditionnel. Les Mazdars de Kisfulu se sont tous convertis au Ve siècle.

Le Marénisme d'Obert a cependant une particularité: Un important culte des saint, et une divination du fondateur d'Obert, le Saint-de-la-Sauvegarde, depuis le VIIIe siècle. Certains théologiens du mouvement des simonons estiment même que la Maré Sanctessima s'est révélé aux yeux des mortels en devenant le Saint-de-la-Sauvegarde. Ce courant de pensé n'estime pas le Saint (avec une majuscule) comme unique, mais le seul actuellement révélé aux mortels. Le Saint est donc la personification de maré Sanctessima. L'autre courant opposé, les fauconniers, estiment eux que maré sanctessima ne peut se réveler aux yeux des mortels car elle n'a pas de forme, et est une puissance irréel (pas dans le sens qu'elle n'existe pas, mais qu'elle n'est pas compréhensible par des mortels) que la Maré Sanctessima ne viendra pas sur Tetrago. Mais la Saint est son messagers choisi, il est la voix de la Maré Sanctessima, son messi. Tous les clercs d'Obert reconnaissent une forme de divinité au Saint.